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Nobuyoshi Araki
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Devenue une référence dans l'histoire du livre de photographie, la collection Photo Poche poursuit son travail de dévoilement des grands noms, courants et écoles de l'histoire de la photographie. Première collection de livres de photographie au format de poche, elle propose des ouvrages soigneusement imprimés, maniables par leur format, accessibles par leur prix, à tous ceux que passionne un moyen d'expression dont on reconnaît aujourd'hui l'importance. Ses différentes déclinaisons (histoire, société...) couvrent tous les champs de la photographie et constituent une iconographie d'une exceptionnelle richesse et diversité.
En cent quarante-quatre pages et soixante-quatre photographies reproduites en couleur et duotone, Photo Poche donne à voir l'essentiel d'une oeuvre de Nadar à Henri Cartier-Bresson, des pictorialistes aux grands noms du photoreportage. Les monographies des grands maîtres du médium alternent avec les sujets thématiques essentiels qui de La Nature morte au Nu déploient les différentes approches d'une esthétique du XIXe siècle à nos jours. Chaque titre est préfacé de manière didactique par un spécialiste du sujet abordé et enrichi de notices biographiques et bibliographiques régulièrement remises à jour.
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Les images retraçant une décennie de travail ont été extraites pour obtenir les 512 pages de photographies de cette ultime rétrospective de l'oeuvre de Nobuyoshi Araki, sélectionnées par l'artiste lui-même.
D'abord publiée en édition limitée et désormais disponible dans un nouveau format pour fêter les 40 ans de TASCHEN, cette sélection plonge au coeur de l'imagerie la plus connue d'Araki: scènes de rue à Tokyo, visages et nourriture, fleurs sensuelles et colorées, organes féminins et art japonais du kinbaku, ou bondage. Entre les jeunes filles ligotées mais provocantes et les pétales luisants aux formes suggestives, Araki joue sans cesse avec les thèmes de la soumission et de l'émancipation, de la mort et du désir, et sur la manière dont une image apparemment anodine peut se révéler choquante.
Décrivant ses photographies de bondage comme «une collaboration entre le sujet et le photographe», Araki essaie de se rapprocher de ses modèles féminins à travers la photographie, en insistant sur l'importance du dialogue avec elles. Dans son Japon natal, il est devenu un personnage culte pour de nombreuses femmes qui se sentent libérées par son habileté à photographier l'expression de leur désir. -
Dans ces entretiens, traduits pour la première fois du japonais, Araki commente une à une 336 photographies couvrant son oeuvre depuis ses débuts en 1963. Le plus célèbre des photographes japonais contemporains raconte sa conception de son travail et ses nombreuses influences, d'Eugène Atget à Yousuf Karsh ou Ken Domon.
Pour Araki, « vivre, c'est photographier ». Il revendique la notion d'autofiction photographique et documente son existence dans ses aspects les plus intimes tels que son voyage de noces ou la mort prématurée de sa femme.
Celui pour qui le « documentaire est une suite de regards posés » révèle qu'il « existe toujours un lien affectif » avec son sujet. « Prendre des photos, c'est un face-à-face ».
À travers une série d'anecdotes, l'artiste se souvient avec une précision remarquable des circonstances entourant la prise de ses photos. Inventeur du mot « Erotos », il confie que la rencontre d'Eros et Thanatos a été toute sa vie au centre de ses préoccupations, et ce, depuis ses jeux d'enfants dans le cimetière des prostituées de Yoshiwara.
Leçon de photo intégrale s'articule en trois parties : un passage en revue par l'artiste de sa carrière jusqu'en 2006, un entretien avec le critique Susumu Watada et un autocommentaire détaillé d'une vingtaine d'ouvrages publiés après 2006. -
Shi Nikki (private diary) for Robert Frank
Nobuyoshi Araki
- delpire & co
- 17 Décembre 2021
- 9791095821434
Dans cette juxtaposition, Araki explore son environnement intime et s'interroge sur son désir comme sur la perte d'un être cher. Réalisée en 1993, trois ans après le décès de sa femme, Yoko Aoki, la série Shi Nikki (Private Diary) for Robert Frank, aussi connue sous le nom de 101 Works For Robert Frank rassemble 101 photographies en noir et blanc. Dans l'austérité du studio ou dans l'intimité de la chambre, le photographe saisit le modèle féminin dans des postures de stricte frontalité, explicite et sans concession, tout comme dans des mises en scène érotiques.
Ces images s'intercalent avec des photographies du quotidien d'Araki désormais veuf : natures mortes, rues et ciel de Tokyo, le chat Chiro adopté avec sa femme...
Les photographies de rues faisant écho au travail de Robert Frank (1924-2019), pionnier de la photographie américaine, à qui Araki a dédié cette série à l'occasion de l'exposition de ces clichés au Japon.
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Bu-araki, tokyo lucky hole-trilingue
Nobuyoshi Araki
- Taschen
- Bibliotheca Universalis
- 23 Mars 2015
- 9783836556385
Tout a commence en 1978 dans un café ordinaire près de Kyoto. La rumeur se répand que les serveuses n'y portent pas de culotte sous leurs minijupes et des collants transparents. Des établissements similaires ne tardent pas à ouvrir dans tout le pays. Les hommes font la queue sur le trottoir, prêts à payer un café trois fois son prix juste pour être servis par des jeunes femmes sans culottes. Quelques années plus tard, les Japonais se passionnent pour les salons de massage sans culotte. Pour faire la différence et attirer la clientèle, les enseignes concurrentes multiplient les prestations annexes, de la masturbation du client à travers un trou pratiqué dans un cercueil dans lequel il git, feignant la mort, au service traiteur pour fétichistes de trains de banlieue. Une destination en particulier les attire à Tokyo: le club «Lucky Hole». Là, le principe est ridiculement simple: le client se tient d'un côté d'une barrière en contre-plaqué, une serveuse de l'autre, et la paroi est percée d'un trou suffisamment grand pour y passer une certaine partie de l'anatomie masculine. Nobuyoshi Araki a choisi d'intituler Lucky Hole ce livre destiné à immortaliser l'essor de l'industrie pornographique japonaise à travers plus de 800 photos des pourvoyeurs et quêteurs de plaisir qui peuplaient le quartier rouge de Shinjuku, à Tokyo, jusqu'à ce que le décret de février 1985 pour le contrôle et l'amélioration des nouvelles industries de divertissement provoque la fermeture d'une majorité des adresses sexy du pays. Miroirs aux murs, draps froissés, cages, orgies, bondage et gémissements composent ces dernières images de bacchanale, tintées d'humour, d'une poésie précise et d'observations perplexes.
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Akaji Maro ; danser avec l'invisible
Aya Soejima, Nobuyoshi Araki
- Riveneuve
- 22 Mars 2018
- 9782360134816
Tout savoir sur ce théâtre japonais très particulier, le Butô, tradition métamorphosée depuis la catastrophe d'Iroshima, et d'un de ses maîtres les plus emblématique contemporain, Akaji Maro qui a aussi tourné dans des films de Tarantino, au travers d'entretiens menés par Aya Soejima.
- Premiers entretiens avec Akaji Maro :
une icône du théâtre japonais butô depuis plus de 40 ans
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Révélations sur ce théâtre traditionnel bouleversé par Iroshima, et sur le maître Maro
- Petit
cahier photo couleur et noir et blanc au milieu d'un petit livre élégant
- L'art d'Akaji Maro a influencé de
grands réalisateurs de films : Quentin Tarantino, Shion Sono, Takeshi Kitano, Sejiun Suzuki...
- Soutien de
la Maison de la culture du Japon à Paris
- Nombreuses représentations dansées au Japon et en France en 2017 et 2018 -
À l'occasion de son 30e anniversaire en 2014, la Fondation Cartier pour l'art contemporain a demandé au photographe japonais Nobuyoshi Araki de prendre une photographie chaque jour, commande destinée à être publiée chaque semaine sur le site internet de la Fondation Cartier sous forme de diaporama. Araki se prend alors au jeu et réalise entre mai 2014 et mars 2015 un total de 1 250 photographies couleur inédites - soit plus d'un cliché par jour - nous invitant à le suivre à travers un Tokyo intime et sensible mêlant portraits de jeunes femmes, natures mortes sensuelles et lieux emblématiques de la vie personnelle de l'artiste. La Fondation Cartier dévoile aujourd'hui toute la richesse de ce sublime kaléidoscope au sein de l'ouvrage «Hi-Nikki (Non-Diary Diary)» qui réunit l'ensemble des photographies réalisées pour ce projet. Né en 1940 à Tokyo, Nobuyoshi Araki invente en 1980 le concept de « faux journal intime photographique ». Il trouve son inspiration dans l'histoire de son pays, sa vie quotidienne et l'érotisme japonais. Situé à la frontière entre l'autobiographie et le journal intime, son travail se caractérise par la pratique de la photographie spontanée de situations mises en scène.
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The Araki Effect a été publié à l'occasion de l'exposition éponyme ayant eu lieu à Sienne, en Italie, dans le complexe muséal de Santa Maria della Scala en 2019. Le catalogue offre un large aperçu de la carrière du photographe japonais, de la première série dans les années 1960 aux travaux plus récents tels que Araki's Paradise de 2019.
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Vous prendrez bien un peu de kinbaku-bi ?
Les photos de bondage préférées d'Arakis.
Qualifié de génie et de poète, mais aussi de misogyne, de pornographe et de monstre, l'oeuvre de Nobuyoshi Araki transcende pourtant les classifications moralistes et simplistes. Il a dit de son travail: «Il n'y a pas de conclusion. C'est totalement ouvert. Cela ne va nulle part.» L'un des plus grands photographes de notre temps signe une oeuvre marquée par une maîtrise unique de la composition, de la couleur et l'harmonie.
Littéralement «la beauté du lien étroit», le kinbaku-bi, art japonais du bondage érotique, fascine depuis longtemps le photographe, qui en a fait un de ses sujets de prédilection. Araki joue avec les motifs de la soumission et de l'émancipation, de la mort et du désir et le glissement dans l'image entre sérénité et scandale. Au sens propre ou au figuré, ses modèles sont incontestablement immobilisés, mais de la manière la plus captivante: des femmes étendues, ligotées mais défiantes, suspendues au plafond, en habit traditionnel ou nues, de face, une fleur parfois subtilement posée entre leurs jambes.
Araki a choisi ses photos de bondage préférées, qui témoigne de son admirable talent à trouver un équilibre délicieusement déstabilisant entre vulnérabilité sexuelle et séduction. -
Nobuyoshi araki impossible love vintage photographs
Nobuyoshi Araki
- Steidl
- 20 Décembre 2018
- 9783958295537
Ce catalogue est publié à l?occasion d?une exposition au C/O Berlin du 8 décembre 2018 au 3 mars 2019. Il rassemble des séries réalisées par Araki au début de sa carrière avec une sélection de nouveaux collages récents ainsi que des suites d?images récemment développées. On y retrouve son approche de la contradiction entre anonymat et intimité, sphères publique et privée, rêve et réalité.
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Un rituel érotique mystérieux, un art qui oscille entre tendresse et cruauté : telles sont les caractéristiques de l'oeuvre du photographe japonais Nobuyoshi Araki. Dans ce carnet de route qui couvre les années 1970-1990, Araki raconte ses rencontres avec ses modèles féminins. Comment des filles abordées dans les quartiers populaires de Tokyo deviennent-elles les créatures de son univers hors norme et parfois ses maîtresses d'une journée ? Comment les convainc-t-il de se prêter à ses sulfureuses mises en scène ? Dans ce jeu où l'humour et la poésie s'allient au sadomasochisme, la victime n'est pas toujours celle qu'on imagine...
Chronique libertine d'un amoureux des femmes sous toutes les coutures, Love Hotel est aussi l'histoire d'un regard épris du Japon contemporain.
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Araki (1940-) vit et travaille à Tokyo (Japon)
Photographe japonais, fasciné par la trilogie indissociable et fondatrice du sexe, de la vie et de la mort, est obsédé par la femme souvent ligotée et les fleurs captées au plus intime de leurs plis colorés.
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Devenue une référence dans l'histoire du livre de photographie, la collection Photo Poche poursuit son travail de dévoilement des grands noms, courants et écoles de l'histoire de la photographie. Première collection de livres de photographie au format de poche, elle propose des ouvrages soigneusement imprimés, maniables par leur format, accessibles par leur prix, à tous ceux que passionne un moyen d'expression dont on reconnaît aujourd'hui l'importance. Ses différentes déclinaisons (histoire, société...) couvrent tous les champs de la photographie et constituent une iconographie d'une exceptionnelle richesse et diversité.
En cent quarante-quatre pages et soixante-quatre photographies reproduites en couleur et duotone, Photo Poche donne à voir l'essentiel d'une oeuvre de Nadar à Henri Cartier-Bresson, des pictorialistes aux grands noms du photoreportage. Les monographies des grands maîtres du médium alternent avec les sujets thématiques essentiels qui de La Nature morte au Nu déploient les différentes approches d'une esthétique du XIXe siècle à nos jours. Chaque titre est préfacé de manière didactique par un spécialiste du sujet abordé et enrichi de notices biographiques et bibliographiques régulièrement remises à jour.
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Le dernier livre de Nobuyoshi araki. Une sélection des derniers clichés instantanés du maître japonais de la photographie contemporaine. Les clichés d'une rare noirceur s'emploient à donner vie à l'inanimé et rendre le vivant intemporel.
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Tout a commencé en 1978 lorsqu'a ouvert près de Kyoto un café d'apparence ordinaire, mais dont les serveuses avaient la particularité de ne pas porter de culottes sous leurs minijupes ou leurs collants transparents. La rumeur se répandit, et bientôt les établissements de ce genre pullulèrent dans tout le pays. Les hommes faisaient la queue à leurs portes, prêts à payer un café trois fois plus cher qu'ailleurs pour le plaisir d'être servi par une jeune femme sans culotte, et dans l'espoir de se rincer l'oeil. En quelques années, une autre tendance se dessina: les salons de «massage» sans culottes. La concurrence effrénée poussait les propriétaires de ces nouvelles maisons de plaisir à proposer à leurs clients des prestations des plus bizarres: branlette par un trou aménagé dans le couvercle du cercueil où le client fait le mort, entièrement nu; restauration privée pour fétichistes des trains de banlieue, jeu de rôle des jeunes vierges... Parmi ces adresses figurait un club de Tokyo appelé le Lucky Hole. Là, le principe était très simple: les clients se tenaient d'un côté d'une cloison en contreplaqué, une hôtesse de l'autre. La cloison était percée d'un trou juste assez large pour que le client y introduise la partie virile de son anatomie.
Nobuyoshi Araki était un habitué des clubs foisonnant dans le quartier de Shinjuku, à Tokyo. Il les a fixés sur la pellicule dans leur âge d'or, jusqu'à ce que l'industrie japonaise du sexe soit bridée radicalement, en février 1985, avec l'entrée en vigueur de la Nouvelle loi pour l'amélioration et le contrôle de l'industrie du divertissement. Au fil de ces quelque 800 photos, Tokyo Lucky Hole témoigne de l'esprit libertaire qui régnait alors dans les clubs, sous l'oeil averti d'Araki.