Filtrer
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Lire Dans Le Noir
-
© Jean-Marc Munier "Aucun travail", "Manque de bases", "N'a rien fait rien rendu", "Que dire ?", "Le troisième trimestre sera déterminant." Il les a connus, les bulletins de notes accablants, l'inquiétude des parents, et la rage de ne pas comprendre. Le jeune cancre Daniel Pennacchioni s'en est pourtant sorti grâce aux encouragements sans relâche de quelques professeurs. Et à son tour, il a plongé pour repêcher les élèves en difficulté.
Dans un livre qui n'est ni un roman, ni un essai, ni une autobiographie, mais un peu tout cela à la fois, Daniel Pennac pose un regard tendre sur des générations d'élèves et réconforte les mères en détresse : l'échec n'est pas une fatalité.
Chagrin d'école a été récompensé par le Prix Renaudot 2007.
-
"Pendant plusieurs dizaines d'années, je n'ai eu qu'une meurtrière pour voir la vie : un rectangle ouvert sur le ciel pur. Ma vue s'est faite à cette exiguïté : j'appris à trouver dans le vol aigu d'une hirondelle ou dans l'interminable dérive d'un nuage les nourritures nécessaires à ma joie."
Christian Bobin a grandi au Creusot, "ville aux usines dormantes". Enfant solitaire, il est longtemps resté à l'ombre de la maison familiale, comme si un ange l'empêchait de s'en éloigner. C'est donc de la fenêtre de sa chambre que ce voyageur immobile a découvert le monde. Et en contemplant la nature, le ciel, la lumière, il a appris à capter les beautés essentielles cachées dans l'ordinaire.
Après la lecture, Christian Bobin répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
Ce serait donc l'histoire de Manuel Pereira da Ponte Martins, dictateur agoraphobe...
Si seulement c'était aussi simple ! Car il faut également compter avec le sosie du dictateur, avec le sosie du sosie, et le sosie du sosie du sosie. sans oublier l'auteur qui songe à ce roman du fond de son hamac ("un rectangle de temps suspendu dans le ciel"), et dont les souvenirs donnent vie à de nouveaux personnages.
Daniel Pennac s'amuse, entraînant le lecteur tantôt dans le livre, tantôt dans les coulisses de l'écriture de son roman, mélange de souvenirs et d'imagination.
-
J'ai tout perdu, sauf la mémoire. Il m'a volé ma femme, mon travail et mon nom.
Quand Martin Harris sort de l'hôpital, il trouve son appartement occupé par un autre. Un homme qui a endossé son identité, et que tout le monde semble considérer comme le véritable Martin Harris, même son épouse... Qui manipule qui? Qui est fou? Qui faut-il croire?
Après la lecture, Didier van Cauwelaert répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
Non mais c'est génial, vous ne vous rendez pas compte ! Un Jésus-Clone, Christ de synthèse à notre botte, un messie made in USA qui prêchera au monde entier la bonne parole, qui incarnera la Pax Americana !
Dans un bureau de la Maison Blanche, le conseiller en communication Buddy Cupperman exulte. Des scientifiques américains auraient réussi à cloner le Christ... Mais l'enfant issu de cette manipulation génétique a disparu, échappant au contrôle des hommes du gouvernement.
Après la lecture, Didier van Cauwelaert répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
Chez les Jardin, il fallait à tout prix devenir Mozart, Mickey ou Jules César, s'élever sans faire de chichis au rang de monarque ou périr jeune. Question d'élégance. Ou encore, surplomber le siècle en s'élevant au rang d'amant virtuose...
A travers une savoureuse galerie de portraits (Le Zubial, Merlin, l'Arquebuse, le Nain Jaune...), Alexandre Jardin nous livre les secrets de sa drôle de tribu. Une famille hors normes dont l'héritage est parfois lourd à porter.
Partagé entre l'admiration et l'angoisse, le jeune Alexandre a cherché à se montrer digne des siens tout en échappant à la folie. Il est finalement devenu écrivain.
Après la lecture, Alexandre Jardin répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
"Rien ni personne ne l'empêchera d'attendre. Et même si on le ligote dans un sac, avec une pierre, et qu'on le jette au fond d'un étang : son attente le fera remonter à la surface."
Employé de banque apparemment insignifiant, Cooper a un secret : il est amoureux de sa soeur. Une soeur courant d'air qui vit en Amérique, et dont il guette obstinément le retour. Nicole, Lauren ou Sophie sont pourtant prêtes à déployer tous leurs charmes pour le détourner de son inassouvissable passion. Y parviendront-elles?
Patrick Lapeyre a lui-même enregistré le premier chapitre et il répond, après la lecture, aux questions de Vincent Josse, journaliste à France Inter.
-
"Pourquoi tu dors tout habillée avec ton cartable, Rachel ? " A la question que lui pose madame Trebla, la psychologue pour enfants, Rachel commence par répondre "Parce que j'ai envie". Puis, au fil des séances, elle se laisse aller à quelques confidences.
Malgré sa coupe de lord anglais imposée par maman, Rachel n'a rien d'une petite fille modèle. Elle fait jouer des scènes d'amour torride à ses poupées, invente des blagues téléphoniques avec Hortense, sa meilleure amie (la seule qui vient à ses goûter d'anniversaire), elle a la tête pleine de rires, de bêtises, de colères et de questions, qui désarçonnent parfois la thérapeute. Au fait, quand on est mort, est-ce qu'on le sait ?
Ce livre audio a été réalisé avec le soutien de la Direction du Livre et de la Lecture
-
L'eau qui bout devient vivante à l'heure du café, le chuintement de la soupe réchauffe à l'avance. Mais l'âme sonore de la cuisine, c'est le ronron du réfrigérateur.
Peintre de la vie quotidienne, Philippe Delerm capte ici les murmures de la ville : brèves de comptoir, adieux sur un quai de gare, échanges de textos... En restituant ces fragments de vie pas si anecdotiques, l'écrivain nous fait sourire, nous émeut, nous révèle à nous-mêmes.?
Après la lecture, Philippe Delerm répond aux questions du journaliste Philippe Vallet.
-
" - C'est un rigolo, ton père, diagnostiquaient mes copains.
Je détestais leur condescendance. Avec le mal que je me donnais pour toi. Tu n'étais vraiment pas digne de ta légende. Alors j'avais fini par révéler, sous le signe du secret, dans la cour de l'école, que tu n'étais pas mon vrai père. En fait, j'étais le fils naturel du roi Baudoin..."
Didier van Cauwelaert écrit à son père récemment disparu. C'est à lui qu'il doit son imagination fertile et son humour inaltérable. Alors, pour rendre hommage à celui qui fut son premier lecteur, il fait de l'histoire de sa famille une saga, et confesse ses secrets d'enfance...
Après la lecture, Didier van Cauwelaert répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
C'était un rendez-vous de désamour. Un coup de foudre à l'envers. Un adieu peut-être.
Gabriel attend Sandrine sur un quai de RER. Si elle ne vient pas, c'est la rupture. Si elle vient, c'est un nouveau départ. Mais dans la rame bondée, d'autres personnages se sont fixés d'autres rendez-vous. Et au fil des secondes, les destins se mêlent.
Après la lecture, Pierre Charras répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
© J-M Munier "Papa, maman : je pars.
Mahalia et moi, nous allons habiter dans la même chambre. Nous allons manger au lit, nous embrasser la bouche pleine, prendre notre bain ensemble et nous aurons le même verre pour mettre notre brosse à dents. Je préfère être honnête avec vous : ses parents vont m'aimer comme leur propre fils. Comme vous avez toujours voulu mon bonheur, je suis sûr que vous parviendrez à l'accepter." Nous ne grandirons pas ensemble Il ne faut pas séparer les amoureux. Pour préserver son couple, Sylvain, 10 ans, prend une grande décision. Il va quitter ses parents et son petit frère pour aller habiter chez Mahalia. Mais un imprévu retarde son départ...
Je suis la honte de la famille A 10 ans, Martin n'est toujours pas amoureux. La honte ! Décidé à ne pas finir éternel célibataire comme l'oncle Arnaud, Martin prend les choses en main. Après tout, pour tomber amoureux, il suffit de le vouloir, non ?
Après la lecture, Arnaud Cathrine répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.
-
"Il a bien fallu s'en rendre compte, à un moment, que je n'avais rien fait, que je n'étais qu'une maman cassée en deux, vidée de l'intérieur, qu'une épouse séparée de son mari, qu'une femme livrée aux chiens, et que je ne méritais pas un traitement pareil. Ou alors j'ai commis le crime parfait."
Le 16 octobre 1984, le corps du petit Grégory, 4 ans, est repêché dans la Vologne. Plus de vingt ans après les faits, Philippe Besson revient sur une enquête qui vit se succéder les coups de théâtre. Le romancier imagine le drame vécu de l'intérieur et raconté par la mère, Christine Villemin.
Après la lecture, Philippe Besson répond aux questions d'Aurélie Kieffer, journaliste et présidente de l'association Lire dans le noir.