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Contes / Légendes
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Contes de Noël et autres textes
Dino Buzzati
- Robert Laffont
- Pavillons Poche
- 31 Octobre 2024
- 9782221278178
Pour la première fois en poche, un recueil de textes autour de Noël par Dino Buzzati, l'un des plus grands auteurs italiens.
Trente-trois textes. L'âge supposé du Christ à sa mort. Le titre, comme le nombre de textes que contient ce recueil de nouvelles, annonce la couleur : Dino Buzzati y parle de Noël.
Avec Noël, c'est à une certaine forme de merveilleux que se frotte Buzzati. Il aime à en traquer les traces dans des endroits improbables, avec des marins pendant la guerre ou à Addis-Abeba, à en célébrer la poésie enfantine, ou encore à en dénoncer la transformation consumériste qui voit Jésus remplacé par un grand bonhomme rouge à l'image fixée par Coca-Cola.
Rédigé des années 1930 à la fin des années 1970, Contes de Noël est un recueil de textes touchants qui dessinent le portrait d'un homme et de sa vie, à travers les habitudes, les contradictions et les merveilles de Noël. -
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Les temps changent et forcément, entre YouPorn et Tinder d'un côté, Mee too et les réseaux sociaux de l'autre, il y a beaucoup de choses à dire sur l'évolution des moeurs amoureuses. Ou leur non-évolution !
Le sexisme, l'ouverture d'esprit, la pudibonderie, l'orientation sexuelle, les partenaires multiples, le culte de la performance, la quête du plaisir, le goût de l'excès, les mensurations, l'âge, le plaisir, la simulation, le narcissisme, la lassitude, la liberté, l'humour au lit... Sur toutes ces questions, Les fables de la Fontanel apportent leur réponse :
Désopilante, et particulièrement pertinente.
En mettant en fables, et donc en vers, rimes et mots d'esprit quelques travers ou impasses de nos vies sexuelles, Sophie Fontanel englobe tout le monde dans un même rire. Et nous rappelle avec bonheur que la verve des fables, c'est la France, c'est nous, c'est tellement nous ! Le souvenir de La Fontaine, et Molière, mais aussi Audiard, Brassens (« 95 fois sur 100, la femme s'emmerde en baisant »).
Ainsi... C'est la fayote qui rêvait de devenir la reine de pipes ("Le feu et l'allumette"). C'est le garçon dont le pénis n'est jamais raccord avec la situation ("La quille et la fille"). Celui qui craint d'en avoir un trop petit ("La croute et la mie"). Celui qui voudrait soudain calmer le jeu ("La porte et la pause"). C'est le garçon qui n'arrête pas de dire que l'homme est chasseur mais qui a peur d'une abeille ("Adam et la Dame"). C'est la fille qui ne trouve plus sa catégorie sur YouPorn ("Carla et sa catégorie"). Ou celle qu'on trouvait trop jolie pour n'aimer que les filles ("Le nénuphar et la mare").
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La campagne française n'est pas un jardin d'agrément.
Des hommes et des femmes y livrent chaque jour de multiples combats. Irène est de ceux-là. La rousse flamboyante révélée dans La Ferme des orages est aujourd'hui une veuve meurtrie et révoltée. Non ! elle n'est pas responsable de la mort de son mari. Non ! elle ne se laissera pas chasser de son exploitation et elle ne renoncera pas aux méthodes d'élevage intensif. Aidée de la seule Léone - une étrange jeune fille que le travail de la terre fascine -, elle va affronter ce monde agricole si mal connu où les ambitions les plus légitimes se heurtent aux passions les plus violentes, où l'indépendance viscérale des agriculteurs doit plier (ou faire semblant) devant les lois inexorables du progrès et du marché.
Contre tous et contre toutes, contre ses ennemis et contre ses amis, Irène mènera ce combat furieux jusqu'aux limites de la raison. Avec La Berthe, l'histoire d'une paysanne hors du commun dans le bocage normand, Joëlle Guillais a touché un immense public.
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À l'automne 1913, Flavien a treize ans lorsqu'il est loué dans la plus grande propriété de Saint-Martin, entre Lot et Corrèze. Comme il a l'air "honnête et travailleur", il est bien accueilli par les maîtres, les domestiques, toute la maisonnée. Malgré sa condition, il est heureux. Éclate la guerre. Les hommes, qui devaient être de retour pour Noël, tardent à revenir ou ne reviennent pas. Chaque famille pleure son mort. À la grande ferme comme ailleurs. Au malheur universel s'ajoutent les malheurs particuliers. Avec des petits bonheurs, quand même, car les coeurs et les corps sont jeunes. Un jour, ça finit. Lentement, le village reprend vie. Et les amours qui sommeillaient s'épanouissent. Flavien a dix-huit ans, comme Eléna.
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Après " la Rivière Espérance, le Royaume du Fleuve.
Soudain, ce fut comme si la paille d'un grenier s'embrasait, projetant sur le fleuve des flammes dorées qui se mirent à danser. Benjamin attira Marie contre lui, prit ses mains, les posa sur le gouvernail, les retint dans les siennes. - Regarde mon royaume, dit-il. Le seul au monde qui mérite d'être défendu. Il manoeuvra le gouvernail et Marie sentit dans ses mains, dans ses bras, ses épaules, la puissance de l'eau.
- Tu sais pourquoi ? demanda Benjamin. Elle sourit, amusée, fit un signe négatif de la tête. - Parce que dans ce royaume-là, tous les hommes peuvent devenir rois. Et les femmes ? - Seulement celles qui savent tenir un gouvernail, fit-il en riant. - Alors, laisse-moi essayer. C'était encore le temps du bonheur, pour Marie et Benjamin. Mais déjà l'Histoire, la " grande ", les rejoignait. La révolution de 1848 écrasée à Paris, une répression sourde pesait sur le pays.
En Décembre 1851, le coup d'Etat du prince Napoléon déclenche dans tout le Sud-Ouest républicain une véritable insurrection. Benjamin, qui y a pris part, est arrêté, jugé, déporté en Algérie avec des milliers d'autres. Une nouvelle fois - c'était déjà le cas dans les cailloux bleus et les menthes sauvages, une femme anime un roman de Christian Signol.
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De Toulouse la rose à Collonges la rouge...
C'est en passant de la grande ville, où sa vie de femme lui semble s'interrompre après le meurtre de son mari, au célèbre village corrézien qui rêve au flanc du Massif, qu'Andrée, avocate de trente-trois ans, parvient à reprendre confiance et espoir. Il lui faudra d'abord sauver son fils que la mort de son père laisse à la dérive. Puis elle-même qui se croyait si forte et assurée dans ses opinions - aujourd'hui blessée.
Par bonheur, elle n'est pas seule : une amie fidèle, de vieux parents bien ancrés dans le passé et le présent de la terre et, plus mystérieusement, la présence vivace en elle de son mari disparu la conduisent sur le chemin de sa résurrection. Les pierres rouges de Collonges, les pierres blanches du causse, des coeurs simples, le temps qui passe - il n'en faut pas plus à Colette Laussac pour dire que la mort n'est pas la fin de la vie.